Neige: nuit de cauchemar sur les routes en Ile-de-France

A Paris hier. (© AFP BERTRAND GUAY)

Brice Hortefeux a demandé jeudi aux habitants d'Ile-de-France de renoncer à prendre leur véhicule, après une nuit cauchemardesque au cours de laquelle des milliers de personnes ont été bloquées dans les aéroports, sur les routes ou sur leurs lieux de travail en raison des chutes de neige qui ont provoqué une pagaille monstre.

Malgré l'annonce de l'épisode neigeux par Météo-France, l'Ile-de-France a vécu son pire scénario depuis la nuit du 4 au 5 janvier 2003 où des milliers de personnes avaient été bloquées, essentiellement sur les routes.

Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait pourtant réfuté mercredi le terme de "pagaille" alors que de nombreux automobilistes et routiers se plaignaient de l'absence ou l'insuffisance de salage. "A ce stade il n'y a pas de pagaille", avait-il dit.

Vigilance jaune liée au verglas

Jeudi matin, il a expliqué dans un communiqué que "les deux tiers du nord de la France sont désormais concernés par une vigilance jaune liée au gel et à la formation de plaques de glace au sol d'importance inhabituelle".

"La circulation sur le réseau routier d'Ile-de-France est fortement déconseillée, sauf impératif professionnel absolu", écrit-il. Il demande notamment de ne pas abandonner les véhicules sur la chaussée afin d'éviter blocages et bouchons.

L'interdiction de circulation des poids-lourds et leur "stockage" a été prolongée jusqu'à "au moins 9H00", a indiqué la préfecture de zone Ile-de-France, qui se réserve la possibilité d'interdire totalement la circulation sur certains axes comme c'est le cas sur l'A104, entre l'A5B et l'A4.

Selon la même source, les bouchons en IDF s'étaient réduits: 13 km à 5H00, contre 350 à 21H15.

"J'ai mis 5 heures pour faire 500 mètres"

Le dispositif d'hébergement mis en place par les services de l'État et les communes a permis d'accueillir, en Ile-de-France, environ 3.300 personnes dans 78 centres d'hébergement, a indiqué le ministère de l'Intérieur.

"J'ai mis 5 heures pour faire 500 mètres" sur la RN118 dans l'Essonne, expliquait un automobiliste, qui a décidé, comme de nombreux autres, d'abandonner son véhicule. "Ils ont rien fait, c'est pas salé!": des chauffeurs routiers bloqués sur la N6 à hauteur de Montgeron (Essonne), ne cachaient pas leur colère.

Après une suspension temporaire du trafic aérien, des milliers de passagers ont été prisonniers des aérogares de Roissy-Charles de Gaulle, où les hôtels étaient saturés.

"Plus d'une centaine de vols Air France ont été annulés à Roissy et une quarantaine déroutés sur d'autres aéroports français", a indiqué une porte-parole de la compagnie. A Orly, les vols avaient une à deux heures de retard.

M. Hortefeux, qui devait se rendre jeudi au Maroc mais a annulmé son développement, a annoncé avoir mobilisé près de "5.000 gendarmes et policiers".

2500 poids-lourds bloqués

De très nombreux salariés ont été surpris sur leur lieu de travail: près d'un millier bloqués au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), sur le plateau de Saclay (Essonne), 2.800 salariés ont passé la nuit au Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines).

Au moins 2.500 poids-lourds ont été bloqués aux abords de Paris sur différentes aires d'autoroute.

Plusieurs accidents ont paralysé la circulation autour de la capitale qui a vu tomber 11 cm de neige en une journée, record battu seulement en 1987.

Certains conducteurs de train ont par ailleurs eu du mal à rejoindre leur travail.

Les préfectures des Yvelines, de l'Essonne, Seine-et-Marne, Aisne, Marne, Meuse et des Ardennes notamment ont interdit les transports scolaires jeudi.

La sécu n'est pas en déficit mais en excédent... 50 secondes pour comprendre pourquoi. Depuis le temps qu'on bouche le trou de la sécu .....

Il faut à Evelyne DUBIN, la signataire de ce document une bonne dose de courage pour avoir écrit ce texte en se nommant (Evelyne DUBIN est passée sur France Bleue mais pas sur une chaine de tele nationale, pourquoi ?). Voici sa thèse :
Pour combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux, c'était encore de nous faire payer...

• a - Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 euro.
• b - Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ...
• c - Nous devons consulter un généraliste avantde voir un spécialiste ...
• d - Pour tout traitement de plus de 91 euros, nous en sommes de 18 euros de notre poche.
• e - Taxe de 0,50c sur les boites..
• f - etc.......

Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de 11 milliards.
Or, savez-vous que :

• 1) Une partie des taxes sur le tabac destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 7,8 milliards.
• 2) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 3,5 milliards.
• 3) Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 1,6 milliard.
• 4) La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 1,2 milliard.
• 5) La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée : 2 milliards.
• 6) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2,1 milliards.
• 7) Retard de paiement par les entreprises : 1,9 milliard.

En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'euros.

Conclusion : si les responsables de la Sécu et nos gouvernants faisaient leur boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions reversait ce qu'elle doit chaque année, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent !!!!

Ces chiffres ne sont pas inventés ; vous pouvez les consulter sur le site de la sécu ; ils sont issus du rapport des comptes de la Sécu. Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits !

N'oubliez pas d'avoir une petite pensée sur l'achat, à la hâte, des 90 Millions de doses de Tamiflu par le ministère de la santé publique, quand on sait que la grippe A n'est pas plus mortelle et dangereuse pour vous et moi que la grippe saisonnière classique. Hélas on ne peut en dire autant des dommages collatéraux potentiels qui existent réellement dans les adjuvants que contiennent les vaccins !!! Quel sera le coût de cette opération, que la sécu va

supporter une nouvelle fois, lorsque le gouvernement sera décidé à dédramatiser la situation !!!

Cordialement. Evelyne DUBIN Secrétaire Générale Adjointe au Directeur Général Institut National du Développement Local

Lady Gaga and the Pornification of America By John W. Whitehead 9/3/2010

   “This morning my little 8 year old sister…screamed to the top of her lungs ‘ ! I LOVE LADY GAGA TILL DEATH!’ over and over again HYSTERICALLY and crying because she saw a lady gaga video…now she can't talk HEY BUT I LOVE HER TWO HAHAHA.”— Lady Gaga Facebook fan

With a record-breaking 17 million fans on Facebook, an equally chart-topping 5 million followers on Twitter, the most popular hashtext on twitter (#becauseofgaga), the most watched YouTube video (“Bad Romance,” with over 271 million views), and more than $34 million in ticket sales from her Monster Ball Tour, Lady Gaga, a.k.a. the artist formerly known as Stefani Germanotta, is undeniably a musical force to be reckoned with. At least for the moment.

Nominated for 13 MTV Music Video Awards, including four for “Bad Romance” (which attracted so much attention when it premiered that it ground Gaga’s website to a halt), Gaga knows how to fill seats, sell albums and incite a frenzied devotion among her followers, whom she affectionately refers to as “Little Monsters.” The emphasis is on the “little.” With a fan base dominated by the under-20 set (her fans on Facebook range in age from 10-21), the driving force behind Gaga’s popularity and success comes from “kidpower.” Yet the content of Gaga’s music and videos is far from kid-friendly, and the impact on her young female fans is particularly troublesome.

Indeed, Gaga admits that “the last thing a young woman needs is another picture of a sexy pop star writhing in sand, covered in grease, touching herself.” However, if you were to replace “sand” with “brothel floor” and “grease” with “diamonds,” Gaga is precisely “another sexy pop star,” albeit one whose hyper-sexualized façade has greatly contributed to the pornification of American culture. As theatre historian and University of Illinois professor Mardia Bishop explains, “pop culture and porn culture have become part of the same seamless continuum. As these images become pervasive in popular culture, they become normalized... and... accepted.”

Given the youth of Gaga’s fanbase, however, this foray into porn culture—the increasing acceptability and pervasiveness of sexualized imagery in mainstream media—is where the Gaga phenomenon takes a dark turn. “Visual images and narratives of music videos clearly have more potential to form attitudes, values, or perceptions of social reality than does the music alone,” notes author Douglas A. Gentile in his book Media Violence and Children, “because they add additional information and rely less on imagination.” For example, Gaga’s critically acclaimed “Bad Romance” video packs a lot of messages—none of them wholesome—into a five-minute musical in which the singer is kidnapped, drugged, and forced to sell herself as a prostitute to the highest bidder. The video ends with a scantily clad Gaga lying on a bed in a post-coital pose beside the smoldering skeleton of her “customer” while her pyrotechnic bra emits fire.

That said, Gaga is far from the only mainstream artist contributing to the sexualization and pornification of young children through the mediums of pop music and music videos. Among the worst culprits constantly bombarding young people today with sexual images and references are music videos, which are found daily in 75-80% of the homes of 9- to 14-year-olds. Children between the ages of 8 and 18 spend approximately 30–120 minutes a day watching music videos—75% of which contain sexually suggestive materials, and with the advent of portable technology, children’s television and music are often unmonitored by parents or guardians. Not only does this accelerate adolescent sexual behavior (girls between the ages of 12-14 are two times more likely to engage in sexual activity after being exposed to sexual imagery), but it increases the likelihood of more sexual partners.

As for Gaga’s “little monsters,” between the celebrity worship and the hyper-sexed imagery found in the pop star’s videos, they’re getting double-teamed. Indeed, Nancy Bauer, a Tufts University professor, argues that as “adoration of celebrities as idols or role models is a normal part of identity development in childhood and adolescence,” young girls often look to celebrities as moral exemplars. This adoration can manifest itself from something as simple as putting up posters of the celebrity to more destructive behaviors, such as starving oneself to mimic a celebrity’s body shape.

Thus, to younger children, Lady Gaga crawling around on the floor in diamonds and giving a lap dance to an emotionally distant male stranger becomes the embodiment of Gaga behavior—to be studied and emulated. For example, the image of Gaga with overly large, computer-generated eyes in “Bad Romance” has given rise to a whole new craze in eyewear—circle lenses. After the video premiered, a professional make-up artist and spokesperson for Lancome, Michelle Phan, uploaded a “How To” video teaching girls how to achieve a similar look. The instruction video, which calls for five layers of false lashes, two eyeliners, brow gel, three different eye shadows, a brow pencil, circle contact lenses, and an anti-inflammatory “not meant for daily use,” received over 12 million hits. One user commented “!? Nice ^^ I want to do this look but I’am just 11 years old!!!” Another girl, 16 years old, admitted to owning 22 pairs of the dangerous (and expensive) lenses. The American Optometric Association, however, has cautioned that the lenses used, which increase the apparent size of the eye by covering not only the iris but also part of the whites of the eyes, pose serious health risks, including “the potential for irreversible sight loss.” If Gaga intended her large eyes to represent innocence lost – a fair and, admittedly, clever, symbol – that’s not what 12 million young viewers got out of it.

That Gaga’s fan base is significantly younger and therefore less capable of comprehending the difference between reality and fantasy and more likely to interpret imagery on a literal level than the fans of past artists demonstrates why Gaga is such a central factor in the pornification of American youth through popular music. Anything they see, whether it’s Gaga caged up with vertebrate sticking out of her back or Gaga using her sexuality to seduce and then murder a male counterpart as she does in “Bad Romance,” is accepted as fact. Her outrageous fashion choices and excessive make-up keep up this façade. As Gaga herself admits, “I don’t even drink water onstage in front of anybody, because I want them to focus on the fantasy of the music.”

But as professor Bauer notes, “the difference between Gaga and other celebrities is, somehow, that these people feel individually like Gaga’s a real role model—that they could be her.” It is precisely this reciprocal relationship, something that usually manifests itself only in individuals with borderline-pathological celebrity worship syndrome that explains the difference between Gaga’s fans and others. Fans that are not otherwise borderline-pathological hold similar mindsets, including the fantasy that Gaga loves them on a personal level, shares in their successes and failures, and is not only a role model but also a projection of the self.

Gaga reinforces this perception through her own carefully choreographed behavior, appearing to show genuine love and an almost motherly concern for her fans. As she explains to one interviewer, “What I’m really trying to say is I want the deepest, darkest, sickest parts of you that you are afraid to share with anyone because I love you that much.” Gaga also manages to create a sense of intimacy and reciprocity in what is traditionally a non-reciprocal relationship, constantly attributing her success and happiness to her fans. For example, Gaga tattooed “Little Monsters” on her forearm, tweeting, “Look what I did last night. Little monsters forever, on the arm that holds my mic.” In response, one fan gushed, “If I ever meet YOU, I’m going to get your signature tattooed on me too!!” Another states, “I wish we could sit down together and talk about all this stuff together. You would love the stories I have! And I know you’d believe me.”

This pseudo-reciprocal relationship, then, is foundational to Gaga’s pervasive impact on fans. After all, when fans are imbued with a sense of importance, they become ravenous consumers of associated commercial products. Yet, in an ironic take on “Bad Romance,” in the end, it’s Gaga’s young fans who are being used for their consumer appetites and sold to the highest bidder.

And what merchandise those appetites have spawned. Gaga’s once obscure fashion has come to inspire Prada, Armani, and Alexander Wang. Nude corsets, lace, bodysuits, feathers, and “the pantsless look” have all been featured on the runways. Particular materials—corsets, high-heels, leather, rubber, fur, and underwear as outerwear are all commonly used in the porn industry, and all appear in Gaga’s “Bad Romance.” These fashions, like fashions of the past, trickle down to reach young girls—which explains how sexually provocative slogans like “Feeling Lucky” find themselves stamped on the backs of underwear marketed to 7 year olds.

Clearly, there are trade-offs in every relationship, and Lady Gaga is no exception. However, while Gaga gets stardom, wealth and affirmation out of her young fan base, it is not without a certain amount of trepidation that one wonders what her “little monsters” are getting in return.

Article relevé sur internet pour vous par Philippe Corfa.

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Sur les sites des différentes organisations syndicales, il est fait état d'un dépot de preavis de greves, des le 07 septembre, contre la réforme des retraites.

Extrait du communiqué de l’intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA du 29 juin 2010 : nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010. Les organisations syndicales décident d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010, au moment où s’ouvrira le débat parlementaire. Elles appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à construire ce jour une mobilisation d’ampleur.

Bien-sur les transports ne seront pas épargnés vu que les personnels de la RATP et de la SNCF n'apprécient pas du tout que le gouvernement remette en cause les régimes spéciaux des cheminots, machinistes et autres catégories de personnels concernées. Sur le site de CGT cheminots : "Les cheminots seront présents au moment où la Commission de Bruxelles veut imposer un changement de statut de la SNCF pour la transformer en société anonyme." (...) "L’intersyndicale du 29 juin décide aussi d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010, au moment où s’ouvrira le débat parlementaire pour construire ce jour une mobilisation d’ampleur." (...) "Les cheminots doivent prendre toute leur place dans ses perspectives de mobilisations et la Fédération CGT créera les conditions pour qu’elles soient unitaires."

Les négociations semblent au point mort aussi Gérard Rodriguez, du comité confédéral de la CGT a déclaré : « Il n’y a pas eu et, de ce que nous dit le gouvernement, il n’y aura pas de négociation. » Tout au plus des discussions sur des aspects qui ne changent rien sur le fond du projet. Selon lui, « le succès du 7 septembre sera le seul moyen de faire bouger les choses ».

Enfin pour l'UNSA-cheminots, le mouvement sera reconductible : "Les cheminots ont bien compris que la réforme à venir touchera aussi leurs régimes spéciaux. Ils demandent pour le moment, des négociations sur ce sujet-là, mais comme Thibault a annoncé que plus rien ne se passait de ce point de vue-là, on peut penser qu'effectivement, l'Unsa-cheminots (second syndicat de cheminots, partira sur du reconductible)..." «Nous exigeons des négociations avec le gouvernement, faute de quoi nous partirons en grève reconductible dès le 7 septembre

Article relevé pour vous par Philippe Corfa

((/public/.1404543_3_9de4_ a-l-occasion-d-une-visite-tres-polemique-en_m.jpg|1404543_3_9de4_a-l-occasion-d-une-visite-tres-polemique-en.jpg|L|1404543_3_9de4_a-l-occasion-d-une-visite-tres-polemique-en.jpg, août 2010))

Tente bédouine plantée dans le jardin de l'ambassade de Libye, promenade sur la place Navone, où il a acheté pour 300 euros de bagues de pacotille, et surtout soirée en compagnie de cinq cents jeunes femmes : les frasques de Kadhafi, font les gros titres des médias italiens.

Venu célébrer avec son ami Silvio Berlusconi le deuxième anniversaire du traité d'amitié du 30 août 2008, qui a mis fin au contentieux sur la période coloniale, Kadhafi a donné, dimanche 29 août, une longue leçon sur l'islam à son auditoire féminin, voilé et sélectionné par une agence d'hôtesses pour une rémunération de 80 euros.

La présidente du Centre italien féminin, Maria Pia Campanile, a dénoncé le "spectacle inacceptable" de cette "rencontre entre le dictateur-sultan libyen Kadhafi et un groupe consistant de jeunes filles recrutées par une agence à condition d'être jeunes, belles et muettes". L'une des phrases prononcées par le leader libyen s'étale en une de toute la presse : "L'Europe doit se convertir à l'islam", titre la Repubblica, "l'islam doit devenir la religion de toute l'Europe", écrit la Stampa.

Le sous-secrétaire à la présidence du Conseil, Carlo Giovanardi, catholique très pratiquant, a cherché à éteindre l'incendie en parlant de "formule prononcée dans un cercle privé". Mais le député européen Mario Borghezio, membre de la Ligue du Nord, allié clé du gouvernement Berlusconi, s'est inquiété d'un "projet dangereux d'islamisation de l'Europe" et a invité le gouvernement à se méfier de Kadhafi et de sa "philosophie de marchand de tapis", dans une allusion aux gros contrats qui seraient à la clé de sa visite en Italie.

Une femme se rend au meeting organisé par Kadhafi à Rome, le 30 août.

La presse a évoqué l'achat de matériel de défense italien par la Libye, qui a déjà récemment accru sa présence au capital du groupe bancaire italien Unicredit. Pour l'Italie, le traité d'amitié prévoit 5 milliards de dollars d'investissements en compensation de la colonisation, dont une autoroute littorale de 1 700 kilomètres en Libye. Et le groupe Eni a prévu 25 milliards d'euros d'investissements en Libye, décrite par son patron Paolo Scaroni comme la "pupille de ses yeux".

Avec ses déclarations sur l'islam, "l'objectif de Kadhafi est de faire croire qu'en Occident il n'y a pas de dignité, que l'Europe ne croit qu'à l'argent", a dénoncé Rocco Buttiglione, président du parti chrétien-démocrate UDC, en lui demandant de "garantir une véritable liberté de religion en Libye".

Le responsable des affaires juridiques de la conférence épiscopale italienne (CEI), Mgr Domenico Mogavero, a de son côté prévenu que l'Eglise demanderait à Kadhafi des comptes sur le sort des immigrés refoulés par l'Italie vers la Libye au nom d'une clause du traité d'amitié bilatéral. "Je trouve préoccupant qu'on ne sache rien de ce qui arrive aux désespérés d'Afrique arrêtés par la police libyenne", a dénoncé Mgr Mogavero, qui comptait s'entretenir avec Kadhafi lors d'un colloque lundi après-midi, après l'inauguration d'une exposition photographique par Kadhafi et Berlusconi.

La section italienne d'Amnesty International a également demandé à Berlusconi d'évoquer les "graves violations" des droits de l'homme en Libye dans ses discussions avec Kadhafi. A la nuit tombée, Berlusconi devait offrir à Kadhafi, l'iftar, le repas de fin de jeûne du ramadan, en présence de huit cents invités, après une grande parade équestre à laquelle participeront trente pur-sang berbères et leurs cavaliers acheminés par avion spécial de Tripoli.

J'ai reçu cette curiosité aujourd'hui, j'ignore s'il s'agit d'une arnaque ou non, mais c'est tellement bizarre que je parierais un franc contre un haricot que oui... Expériteur : Aug Insure Sujet du mail : "Recherche des candidats dans une grande entreprise /secteur assurances" :

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RZ retransmet avec plaisir et admiration ce message de Marc de Muynck :

Bonjour à tous, amis et sympathisants,

Je me permets de solliciter votre aide pour diffuser le plus largement possible à vos amis et contacts, entreprises, sociétés, fondations, associations, organismes sociaux divers, etc… susceptibles de participer au financement du projet que vous trouverez en téléchargement ici : Voir aussi cette page : http://www.lesenfantsdudragon.com/Projets.php

Notre association "les enfants du dragon", reconnue officiellement par les autorités vietnamiennes, soutient depuis 2007 cette petite structure : Lớp Học Tình Thương Hoa Sen – à TP Hồ Chí Minh (Việt Nam), établissement qui est à la fois un orphelinat et une école dirigé par Sư cô NUYÊN THANH.

Nous recevons régulièrement de nouveaux petits pensionnaires, orphelins ou abandonnés le plus souvent anonymement. Afin d'être en conformité avec la loi vietnamienne et aussi de pouvoir accueillir d'autres enfants, il devient impératif d'agrandir l'espace nécessaire à leurs conditions de vie.

Merci d'avance à tous pour votre aide sous quelque forme que ce soit.
Tous les dons enregistrés au siège de notre association sont déductibles fiscalement en France selon les règlements de l'administration des impôts.
Bien à vous tous (Cordialement et/ou Amicalement).
Marc, responsable des opérations au Vietnam
Don possible directement en ligne : http://www.lesenfantsdudragon.com/Don.php

Marc De Muynck

Retrouvez le sur Viadeo. Qui est-il ?

Bénévole, Humanitaire

Ho Chi Minh (99) - Vietnam

Une pétition pour sauver le régime des Auto-Entrepreneurs : OUF ON A GAGNE !!

Chers amis,

Je ne sais si la pétition a vraiment aidé, mais le résultat est là !

Voir cet article :

http://www.lesechos.fr/pme/creation/020465848373-le-senat-renonce-a-limiter-e...

Où on peut lire :

"Les sénateurs ont finalement repoussé la proposition, notamment défendue par Jean Arthuis, d'encadrer le statut de l'autoentrepreneur en le limitant à trois ans afin notamment de régler les problèmes de concurrence soulevés par certains artisans du bâtiment. Une mesure à laquelle s'opposait Hervé Novelli. Rappelant qu'« on légifère pour le plus grand nombre et quand il y abus, on les réprime », le secrétaire d'Etat aux PME contestait le danger en rappelant que seulement 12,7 % des autoentrepreneurs sont dans le bâtiment et qu'ils ne représentent que 0,5 % de l'ensemble du chiffre d'affaires généré par les autoentrepreneurs. Le gouvernement a par ailleurs profité de l'examen de ce texte pour y introduire la dernière étape de la réforme d'Oséo qui deviendra désormais une entité unique qui assurera des missions de co-financement, de garanties et de soutien à l'innovation."

On peut respirer !

Pour l'EIRL : "Le texte qui a été présenté en urgence, sera examiné pour adoption définitive en commission mixte-paritaire le 28 avril prochain. Il restera ensuite environs six mois aux services de Bercy pour rédiger l'ordonnance qui permettra sa mise en oeuvre à partir du 1 er janvier 2011."

C'est un très beau dimanche pour beaucoup.

Bonne semaine à tous et merci à ceux qui ont apporté leur soutien ! Catherine Guilliaumet

dimanche 11 avril 2010

Article relevé pour vous par Philippe Corfa